Ma Salope De Femme Me Cocufie Avec Un Drôle DInconnu. (Suite 7)
Ce dernier dimanche avant la fête paroissiale, jattendais avec impatiente Lili qui sétait une nouvelle fois donnée en pâture au curé du village. Cela faisait plus de deux mois, que jétais dans limpossibilité de la toucher depuis quelle mavait surpris en train de baiser avec sa mère. Lorsquelle était rentrée avec son air rayonnant pleine de satisfaction, javais décidé de mettre les points sur les i :
Tu as encore baisé le curé, je suppose ? Peut-on maintenant faire la paix ? Tu tes vengée de moi et je pense que cela doit se terminer.
Pas du tout mon amour, je prends tellement de plaisir en pensant à toi que jaurai pris ma revanche samedi prochain.
Ah bon ! Pourquoi ?
Parce quun curé, cest insolite, mais samedi ce le sera encore plus. Crois-moi. Après, je te laisserai me reprendre comme tu le désireras. Je te le jure.
Ce fameux jour de kermesse était là, jétais au stand de vente de gâteau avec Adèle car je ne devais plus mapprocher de Sophie, ma belle-mère. Je ne perdais pas au change, car Adèle, quoiquun peu forte était devenue ma maitresse et je ne perdais pas au change car cétait une femme très vicieuse avec laquelle je prenais beaucoup de plaisir.
Ma Lili damour avait fait fort, par ce magnifique après-midi très ensoleillé, du haut de ses vingt-trois ans, elle sétait vêtue uniquement dun tout petit débardeur blanc arrivant juste au niveau de son nombril avec un large décolleté et de toutes petites bretelles, dun mini short en jean bleu taillé au ciseau laissant voir la naissance de ses fesses et chaussée de baskets blanches en tissu. Elle avait le stand dà côté quelle tenait où les s pouvaient admirer certains animaux de la ferme, avec Gérard le copain de Justine, une autre conquête à moi mais notre relation navait pas duré très longtemps. Adèle était passée par là en lui disant : « Chasse gardée. »
Elle donnait à manger aux animaux ou nettoyait le poney avec une grosse brosse dans les mains.
La fête étant finie, elle sétait dirigée vers la salle où se trouvait une salle deau équipée dune douche. Elle avait pris le vieux Monsieur par la main et lavait entrainé avec elle, il navait pas du tout refusé, ce vieux salaud, il pouvait ainsi la mater se laver, il était aux premières loges.
Sous leau douce quelle faisait couler sur elle, elle se massait la peau avec un savon en commençant par ses magnifiques seins un peu trop lourds pour son corps mince de jeune femme, quelle caressait délicieusement, sa langue passait sur ses lèvres en signe dexcitation.
Elle ouvrait légèrement la bouche qui laissait voir sa langue collée au palais derrière deux incisives blanches légèrement écartées. Elle continuait toujours à passer ses mains sur son corps en insistant maintenant sur ses fesses rebondies en faisant des mouvements circulaires avec une grande douceur. Elle reprit ses seins, les soupesant en les faisant remonter le plus haut quelle le pouvait, la bouche toujours à demi ouverte, elle appréciait ces instants. Une fois rincée, elle sortit de la douche, sa démarche était gracieuse. Elle passa sa grande serviette de bain dans son dos lécartant avec ses deux mains et commença à sessuyer les seins dont les deux tétons ne demandaient quà être tétés. Puis elle fit de même sur ses fesses pour finir sur son sexe, ses jambes et les pieds. Elle était splendide et prenait tout son temps, ce qui permettait au vieux Monsieur de ladmirer. Il avait rarement vu une telle beauté.
Elle se plaça devant le grand miroir et se regardait toujours en passant ses mains sur sa peau délicate et bronzée à souhait. Elle sortit de la salle de bain et vint vers lui lembrasser, revêtu uniquement dun soutien-gorge rouge et dun string assorti. Il était assis sur un divan, elle sagenouilla sur le coussin à côté et le prit par le cou.
Elle voulait encore lembrasser, voulant lui retirer son visage, elle happa mon pouce et le lui suça quelques instants en le fixant droit dans les yeux. Le vieux tout excité mimait des va et vient avec ce doigt entre ses lèvres, elle lui souriait, cétait très sensuel. Lorsquil passa sa main sur son sexe, elle était déjà prête et mouillée, elle se coucha sur le canapé, écartait les jambes ce qui eut pour effet décarter également ses grandes lèvres lui ouvrant ainsi sa chatte. Elle passa plusieurs fois sa main sur son vagin de bas en haut en sattardant sur le clitoris qui sortit de sa protection. Elle senfila deux doigts quelle coulissa rapidement à lintérieur de sa vulve mouillée à souhait, pendant quil baissait son pantalon et son slip. Lili lui demanda de la prendre tout de suite. Il sétait approché, elle passa ses mollets sur ses épaules, elle soffrait à son sexe en érection totale mais de petite taille comparée à la mienne. Il lavait pénétrée sans aucune difficulté, et vu son excitation, il agissait tel un TGV, il allait et venait à grande vitesse sans jamais senfoncer entièrement.
Pendant ce temps, elle se prenait les seins et les triturait en léchant ses tétons. Elle ne le quittait pas des yeux, elle se donnait lair dun chien battu, cela lenflammait, elle était tellement excitante cette femme que son visage sera gravé dans sa mémoire à jamais.
Le papi nen revenait pas encore, lorsquelle se leva et lui fit une bise sur la bouche tout en me regardant, elle savait que jobservais. Depuis le début, je voulais intervenir afin de lempêcher de faire lamour à ce vieux bonhomme, mais elle venait de faire une très bonne action, ce sera probablement la dernière fois que cet homme de 75 ans prendra son pied de cette façon avec un canon pareil. Il en bavait encore et gardera dans ses pensée ce corps magnifique de ma chère et tendre épouse soffrant à lui sans aucune retenue : « Merci mademoiselle, vous êtes tout simplement une splendeur, une déesse de lamour. Jamais je ne vous oublierai. »
Je me sentais tout bête, ma femme était devenue à cause de moi, une vraie salope. Je ne sais pas si elle a joui, je ne lai pas entendue crier mais elle avait su me donner une érection quil fallait maintenant assouvir avec Adèle qui était restée à mes côté pendant toute cette scène érotique, sensuelle et mémorable.
Après le curé, elle me cocufie avec un vieux. Lili métonnera toujours.
Je me demande encore avec qui elle va bien baiser la prochaine fois.
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